Parlons Forme #045 : Vos pensées créent votre réalité

Au sommaire du quarante-cinquième épisode de Parlons Forme

Dans cet épisode vous allez découvrir

  • Pourquoi nous n’allons pas parler de Loi de l’Attraction,
  • Pourquoi est-il essentiel de comprendre ce mécanisme entre nos pensées et nos actions ?
  • Les 5 étapes : des circonstances aux résultats,
  • Pourquoi les circonstances sont neutres et jouent assez peu sur vos résultats,
  • Les différents types de circonstances,
  • Comment choisir un nouveau type de pensée ?
  • Comment faire cet exercice sur un épisode de votre vie ?
  • L’astuce vous permettant de savoir si vous avez bien réalisé cet exercice ?
  • Deux raisons de vous laisser un peu de temps quand vous faites cet exercice,
  • Et bien d’autres choses…

Liens cités dans cet épisode

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Découvrir un autre épisode de Parlons Forme

Pour compléter cet épisode, je vous propose de (re-)découvrir cet épisode où je vous explique pourquoi vous devez prendre la pleine responsabilité des résultats que vous obtenez (ou n’obtenez pas).

Il n’y a que vous qui puissiez prendre votre vie en main afin de changer ce qui ne vous convient pas… si vous ne le faites pas, personne ne le fera à votre place !

Episode à écouter ci-dessous ou téléchargez-le au format MP3 (Clic droit / Enregistrer sous…)

Accéder aux notes de cet épisode

Alors avant d’aller plus loin je tiens à faire une précision.

Peut-être qu’en lisant le titre de cet épisode vous vous êtes dit : « Ok, on a perdu Xavier, il est parti dans un délire trop loin et il va chercher à nous convaincre qu’il suffit de souhaiter quelque chose pour le faire apparaitre dans notre vie ».

Alors, pour vous rassurer si vous avez besoin de l’être… non, cet épisode n’est pas magique, il ne traite pas de loi de l’attraction et je ne vais pas vous dévoiler de secret pour obtenir tout ce que vous voulez avoir dans votre vie.

Même si j’ai lu et écouté beaucoup de choses sur ces notions je vous avoue être assez dubitatif dans cette idée qu’il suffit de penser à quelque chose pour l’attirer à soi. Disons que ma conviction et que la pensée est certes indispensable mais cela reste une étape parmi d’autres qui vont faire que l’on va obtenir ce que l’on souhaite dans sa vie… que ce soit un objectif que l’on se fixe ou une possession physique par exemple.

Bref, l’idée est de vous rassurer, ce que nous allons voir est finalement très terre à terre mais néanmoins extrêmement utile et puissant si on l’utilise à bon escient.

Ceci étant dit faisons un petit recap de l’épisode précédent. Dans celui-ci je vous parlais du fait que vous devez prendre la responsabilité à 100% de vos actions et de votre vie en général.

Nous avons alors évoqué cette idée que face à une circonstance ou un événement, c’est votre façon de réagir à cette circonstance qui va déterminer le résultat que vous obtenez. Le fait que vous obteniez un résultat qui vous semble positif ou négatif dépend de votre réaction et non pas de la circonstance ou de l’évènement en question.

Pourquoi devez-vous comprendre comment vous fonctionnez ?

Le point fondamental est donc de comprendre comment vous réagissez, nous allons voir que cette phase de « réaction » comprend 3 étapes que je vais vous expliquer plus en détail dans une minute mais avant cela, voyons pour c’est utile et important de comprendre tout cela.

A mes yeux, il y a 3 raisons :

  1. La première est que vos pensées sont à la base de tout ce que vous faites (ou ne faites pas). Mieux comprendre votre façon de fonctionner vous permet de prendre du recul et d’analyser certaines situations qui, par exemple, ont tendance à se répéter. Si vous constatez que vous ne pouvez pas vous empêcher de faire ou de ne pas faire quelque chose qui va à l’encontre de vos objectifs, c’est probablement qu’il y a une bonne raison pour ça… Prendre du recul pour aller chercher cette raison est indispensable pour évoluer.
  2. Deuxième point : Vous ne subissez plus votre vie. Quand vous identifiez les raisons cachées derrière vos comportements alors vous n’avez plus à subir ces comportements. Vous les voyez arriver et vous savez maintenant comment les désamorcer pour ne plus les répéter à l’infini et constater amèrement que « c’est toujours pareil et que vous n’est êtes bon ou bonne à rien ».
  3. Troisième point : Vous savez alors que vous avez le pouvoir d’agir car avec le temps vous n’allez pas seulement agir sur les situations problématiques auxquelles vous êtes confronté mais vous allez anticiper et faire ce qu’il faut pour agir rapidement dans tous les secteurs de votre vie et vous la faciliter sans même vous en rendre compte car avec le temps tout cela devient naturel pour vous.

5 étapes qui s’appliquent à toute situation de vie

Donc nous allons voir ensemble les 5 étapes, des circonstances au résultat final, ce qui va vous permettre de comprendre comment vos pensées créent votre réalité.

Pour info, je n’invente rien, ce que je vous partage aujourd’hui est une modélisation qui a été faite par Brooke Castillo qui est une coach de vie américaine qui a, entre autres activités, son propre podcast, en anglais bien entendu, c’est le « Life Coach School Podcast ».

Il s’agit donc d’un podcast de développement personnel et quand on parle de développement personnel en général on n’invente rien mais la force de Brooke Castillo est sa capacité à rendre très clair et très accessible certaines notions ou concepts qui sont parfois, pas compliqué mais… moins facile à appréhender et à les rendre applicables dans votre vie de tous les jours. Donc, si vous comprenez l’anglais, je vous recommande chaudement son podcast. Ce que nous allons voir aujourd’hui c’est ce que Brooke Castillo appelle le MODEL, un processus qui se découpe en 5 étapes :

  1. Circonstance(s) / Evènement(s)
  2. Pensée(s)
  3. Emotion(s)
  4. Actions
  5. Résultat

Voyons tout cela plus en détail :

Les circonstances

Toute situation est définie par les circonstances de cette situation. Là où c’est intéressant c’est que ces circonstances sont neutres. C’est-à-dire que ce n’est pas la circonstance de la situation qui va avoir un impact sur le résultat final que vous allez obtenir. C’est pourquoi elles sont neutres car peu importe la circonstance, c’est la façon dont vous allez réagir qui va déterminer le résultat. Globalement les circonstances prennent 3 formes, ce sont :

  • Les événements externes : aujourd’hui il pleut ou il y a du soleil, il y a des embouteillages ou ça roule bien, vous recevez une lettre des impôts… tout cela ce sont des évènements externes qui arrivent dans votre vie et c’est comme ça. En soi ils ne sont pas bons ou mauvais, juste ils sont là.
  • Deuxième type de circonstance, les personnes : vos parents, vos frères et sœurs, votre partenaire de vie, vos enfants, vos voisins, vos collègues et j’en passe… autant de personnes qui font partie de votre vie et que vous ne pouvez pas contrôler car ils sont toujours libre de faire, de penser, de dire ce qu’ils veulent…
  • Troisième forme, le passé : votre passé est comme il est et vous ne pouvez rien y faire, vous ne pouvez pas revenir en arrière pour le modifier et donc en soi il est neutre car c’est uniquement votre façon de réagir vis-à-vis de ce passé qui va avoir un impact sur votre vie actuelle et votre vie future.

Là où vous avez votre mot à dire c’est à partir de la 2eme étape, celle de…

Vos pensées

Vos pensées, c’est en général une phrase qui vous vient à l’esprit lorsque vous faites face à une circonstance.

Si je reprends mes exemples précédents, si j’ouvre mes volets le matin et que je vois qu’il pleut je peux me dire « Encore une sale journée qui commence ». Si j’entends les enfants des voisins du dessus qui commencent à faire du bruit, je pourrai penser à propos de leurs parents « Mais ils ne sont pas capable de s’occuper de leurs enfants ou quoi ? ». Si je repense à un accident de voiture que j’ai eu il y a 5 ans, je peux me dire que « je ne suis pas un bon conducteur ou conductrice ».

Bien entendu, ici je prends des exemples de pensées qui sont plutôt négatives. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a jamais de positif dans ma vie mais simplement que si vous avez une pensée ou une croyance positive et qu’elle vous aide alors on vous allez la garder le plus longtemps possible. Alors qu’on contraire, vous allez essayer de mettre votre attention sur toutes ces pensées qui vous aident moins ou qui vous bloquent pour essayer de les comprendre afin de les faire évoluer et ainsi obtenir des résultats plus en accord avec vos attentes.

Donc pour résumer, vos pensées, ce sont en général un ou plusieurs petites phrases que vous avez, la plupart du temps automatiquement, lorsque vous êtes confronté à une circonstance.

De ces pensées découlent le 3eme point, celui de…

Vos émotions

Vos émotions c’est un ou plusieurs mots qui vont décrire comment vous vous sentez lorsque vous avez cette pensée.

Quand je pense « Encore une sale journée qui commence » parce qu’il pleut je peux me sentir « démotivé » ou encore « fatigué » de cette météo pourrie.

Quand je pense « Ils ne sont pas capable de s’occuper de leurs enfants ? » je peux me sentir « agacé » ou même avoir de la « colère » qui monte en moi parce que ça fait 10 fois qu’on va les voir et que rien ne change.

Quand je repense à cet accident de voiture je vais peut-être ressentir de la « peur » ou une certaine « angoisse » à l’idée de devoir prendre ma voiture.

Nous passons alors à la 4eme étape car vous vous doutez, ces émotions ont un impact fondamental sur…

Vos actions

Ce sont toutes les choses que vous allez faire ou ne pas faire et qui découlent directement de vos émotions qui elles-mêmes découlent de vos pensées.

Vous constatez qu’il pleut lorsque vous ouvrez vos volets, vous pensez que c’est une sale journée qui commence et vous vous sentez fatigué… il est assez peu probable que vous allez vous motiver à aller faire votre footing comme vous l’aviez prévu…

Vous êtes agacé par les enfants de vos voisins qui font du bruit, encore une fois ! Vous décidez d’attendre un peu mais plus vous attendez, plus la colère monte jusqu’au moment où vous n’en pouvez plus et vous allez cogner à leur porte pour leur dire le fond de votre pensée…

Si vous êtes convaincu que vous conduisez mal, alors vous allez manquer de confiance en vous, vous allez probablement avoir un comportement routier dangereux au milieu du reste de la circulation et donc augmenter vos chances d’avoir de nouveau un accident…

Tout cela nous amène naturellement à la cinquième et dernière étape, celle de…

Vos résultats

Qui sont la somme de ce que vous obtenez ou n’obtenez pas dans votre vie.

Vous aurez peut-être plus de mal à rester en forme si vous vous démotivez avant chaque séance de sport parce que la circonstance du moment n’est pas parfaitement favorable.

Vous aurez probablement une mauvaise relation avec vos voisins si tous vos échanges tournent autour du fait que leurs enfants font trop de bruit… et que ces échanges se font sous le coup de la colère.

Vous aurez probablement plus d’accidents si vous avez l’intime conviction que vous êtes un mauvais conducteur ou une mauvaise conductrice.

Quelle nouvelle pensée serait plus utile ?

Alors bien entendu ici je vous ai juste donné 3 exemples assez bateau mais c’est aussi pour faciliter la compréhension et l’enchainement des différentes étapes.

Mais sachez que quel que soit le type de situations que vous rencontrez, que ces situations soient plus ou moins graves, vous allez voir que ce processus est toujours applicable. Peut-être importe la circonstance, ce sont vos pensées qui vont déterminer la nature du résultat que vous allez obtenir.

Pour voir ça, on peut continuer avec ces exemples, face aux circonstances que je vous ai présentées, quelles pensées plus positives cette personne pourrait avoir ?

Dans le cas de la pluie, elle pourrait simplement se dire : « J’ai vraiment de la chance d’avoir un toit qui me protège et me permet d’être bien au chaud ». Je peux ressentir de la « gratitude » pour ça et une certaine forme de « joie ». Des émotions bien plus positives qui vont contribuer à me motiver pour faire la séance de sport à la maison a défaut de la faire à l’extérieur.

Pour les enfants des voisins, je peux me dire « Que même si ce n’est pas parfait ils font déjà des efforts car globalement ils font déjà moins de bruit et moins longtemps » alors ça ne veut pas dire que vous allez subir tout ça pendant des heures mais justement, vous n’allez pas attendre de longues minutes et d’être en colère avant d’aller voir votre voisin, vous irez peut-être plus rapidement avec une volonté d’apaisement et en faisant preuve de compassion ce qui va pacifier votre relation et sera surement bien plus productif sur le long terme.

Quand vous repensez à cet accident de voiture vous pourriez-vous dire que c’était une étourderie passagère ou que vous ne ferez plus la même erreur mais que dans tous les cas ça ne remet pas du tout en cause le fait que vous savez conduire et bien conduire. En ayant ce genre de pensées vous aurez une conduite plus souple et plus fluide, votre véhicule va mieux s’intégrer au reste de la circulation, vous n’allez pas piler au moindre soupçon d’alerte… bref globalement vous conduisez bien car vous savez que vous en êtes capable et vous diminuez le risque d’avoir un nouvel accident.

Faites l’exercice de votre côté

L’idée maintenant et que vous fassiez cet exercice par rapport à une situation récente où vous avez obtenu un résultat qui ne vous parait pas satisfaisant. Cet exercice est intéressant à faire dans toutes les situations mais c’est d’autant plus impactant si vous cherchez à comprendre comment vous réagissez dans certaines situations qui ont tendance à se répéter. Par exemple, si vous vous agacez régulièrement vis-à-vis à de vos enfants, d’un collègue ou que chaque jour vous faites ou ne faites pas quelque chose que vous aimeriez faire ou arrêter de faire, commencez à travailler sur ces sujets.

Donc concrètement, vous prenez une feuille et un stylo. Sur cette feuille vous symbolisez les 5 étapes avec le C de Circonstance, puis quelques lignes en dessous le P de vos Pensées, puis le E des émotions, le A des Actions et le R de résultat.

Je vous rappelle que la Circonstance est neutre donc vous devez l’écrire en tant que telle, une phrase descriptive sans jugement ni avis. Ça pourrait être : « Cette collègue me propose des chouquettes tous les matins ». Ça doit un fait, quelque chose que vous pourriez prouver dans un tribunal.

Ensuite, quelle Pensée découle de cette circonstance ? Peut-être que je pourrai penser : « Elle exagère, ça fait 10 fois que je lui dis que je ne veux as de ses chouquettes ».

Sur la ligne des Emotions je pourrai alors écrire « agacement ».

Et sur celle de l’Action ça pourrait être : « Je lui réponds sèchement que je ne veux pas de ces chouquettes et que ce n’est pas la première fois que je lui dis ».

Résultat : Ma collègue est vexée et ne comprend pas ma réaction, notre relation est moins bonne que la veille.

Comment savoir si l’exercice est bien réalisé ?

L’astuce pour savoir si vous avez bien fait cet exercice et notamment savoir si vous avez identifié la bonne pensée c’est de vous demander si la pensée est en accord avec le résultat final.

Dans cet exemple, à priori c’est OK car si je pense qu’elle exagère, voir qu’elle fait exprès et qu’au final cette collègue est vexée et que notre relation se dégrade… on peut dire que le résultat final correspond à la pensée.

Donc si le résultat final est cohérent avec la pensée vous pouvez partir du principe que vous avez bien fait cet exercice.

Autre point, il est possible d’avoir plusieurs types de pensées face à une circonstance. Pour cette même circonstance vous pourriez vous dire :

  • « Ça ne se fait pas de refuser une telle proposition »,
  • « Elles ont l’air vraiment trop bonnes ces chouquettes »,
  • « Merci à cette collègue, ce matin je n’ai pas pris de petit déjeuner »…

Il y autant d’options possibles que de personnes et une même personne peut combiner les pensées face à une même circonstance donc si besoin faites cet exercice plusieurs fois.

Ensuite, l’idée est de choisir une nouvelle pensée plus en accord avec vos objectifs. Le point essentiel à ce moment-là c’est de choisir une pensée qui vous aide et en laquelle vous croyez fermement. Si vous ne croyez pas en cette nouvelle pensée alors vous allez l’abandonner rapidement…

Par défaut, votre cerveau n’aime pas le changement. Le jour où vous lui demandez de penser différemment à une situation que vous vivez peut-être depuis des années alors forcément ça ne lui plait pas. Cela demande donc une minimum de volonté de votre part pour « forcer » cette pensée et la faire votre. Si vous voulez que ça fonctionne vous devez croire fermement en cette pensée.

Par exemple je pourrai décider de penser que si cette collègue me propose ces chouquettes tous les matins c’est parce qu’elle a eu une éducation où il est important de partager ce que l’on possède. Du coup quand elle m’en propose ce n’est pas spécialement pour me tenter mais simplement parce qu’elle veut me faire plaisir.

Je pourrais aussi penser que cette collègue nous propose des chouquettes en sachant d’avance que l’on va refuser mais comme elle nous en a proposé alors elle se sent OK avec le fait de manger tout le paquet toute seule. Notre refus fait qu’elle n’a « pas le choix » de manger ces 10 chouquettes à elle toute seule. Et là encore elle ne me propose pas ces chouquettes pour me tenter, moi, mais pour s’autoriser, elle, à tout manger.

Ces pensées sont peut-être vraies ou fausses, elles ne sont ni bonnes ni mauvaises, l’important c’est que 1, vous y croyez et 2, qu’elles vous aident pour aller dans la direction de vos objectifs. Ce que fait votre collègue n’est qu’une circonstance neutre.

Et enfin dernier point pour cet exercice, laissez-vous du temps.

D’abord pour vous approprier votre pensée actuelle. Prenez le temps de la comprendre et surtout ne vous culpabilisez pas d’avoir cette pensée. Une pensée c’est juste une pensée et comme vous pouvez en changer alors vous savez qu’elle ne vous définit pas donc il ne sert à rien à vous culpabiliser à l’idée que vous avez ce type de pensées.

Ensuite, laissez-vous du temps pour installer votre nouvelle pensée. Vous ne pouvez pas remplacer une pensée par une autre d’un claquement de doigts. Il faut du temps à votre cerveau pour prendre cette nouvelle habitude de pensée donc laissez-lui le temps dont il a besoin et vous verrez qu’au fil des jours et semaines à venir tout va se mettre en place.

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Nous arrivons au terme de cet épisode. J’espère que celui-ci vous a plu et apporté des choses. Honnêtement ce ne sera le cas que si vous appliquez ce que l’on a vu ensemble donc je vous encourage chaudement à faire cet exercice au moins une fois sur une situation de votre vie… et vous verrez ensuite combien cela peut-être utile. Faites l’exercice à l’écrit, c’est d’autant plus efficace ainsi.

D’une façon plus générale, si vous pensez que je peux vous aider et vous accompagner sur cette route d’une meilleure connaissance de vous-même et d’une meilleure santé en général alors je vous invite à contacter directement pour que l’on puisse en discuter. Pour cela rendez-vous sur le site ExtraForme.fr et sur la page Contact.

Dans tous les cas je vous dis à très vite pour le prochain épisode. Ciao !

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